dernière analyse de Boniface -25 mars :
un compromis possible ? 23 mars
La situation par Courrier international au 15 mars (extraits) à lire sur leur site :
Pour le lieutenant général britannique James Bucknall, ancien commandant du Corps de réaction rapide allié (ARRC) de l’Otan, les troupes russes se sont éparpillées sur des fronts trop nombreux. Il doute désormais de leur capacité à prendre le contrôle de Kiev, l’assaut de cette zone urbaine nécessitant selon lui une concentration des forces pour surpasser les défenses en nombre.
Son constat semble conforté par l’Institut pour l’étude de la guerre (ISW). Dans son compte rendu quotidien sur la situation en Ukraine, le think tank américain estime que l’attaque menée par les troupes russes à Kiev représente déjà “le niveau maximal d’action offensive que les forces russes peuvent mener pour finir d’encercler la ville”. L’incapacité de l’armée russe à coordonner une “manœuvre interarmées” – impliquant aussi bien l’infanterie que les divisions blindées et ses moyens aériens – serait flagrante sur le terrain.
Selon le Times, (…) la géographie difficile du territoire ukrainien a rendu l’armée russe dépendante aux réseaux routiers, ce qui facilite d’autant plus l’organisation d’embûches du côté ukrainien. La stratégie pour enrayer l’avancée russe consisterait à anticiper l’arrivée dans les zones urbaines de colonnes de véhicules ennemis, et de les attaquer au moyen d’armes antichars depuis des positions stratégiques ainsi que de drones de combat après qu’ils ont pénétré dans la zone. Constatant l’efficacité de ce type d’embuscades, les États-Unis voudraient équiper l’Ukraine en “drone kamikaze” dans le cadre d’une aide militaire de 800 millions de dollars, rapporte un autre article du Times. Le ralentissement des convois passe également par les opérations de sabotage et notamment la destruction de ponts.
Analyse de P Boniface le 14 mars
Le dessous des cartes express sur le conflit et la place de l’OTAN :
P. Boniface le 3 mars :
point le lundi 28 février
Pascal Boniface, encore, analyse dès le premier jour de l’opération russe :
la déclaration de V. Poutine sur Russia Today, où l’on comprend que l’Ukraine n’est qu’un élément de la vision géopolitique du dirigeant russe (en TEXTE puisque la source a été retirée…)
une vidéo de Courrier international pour remettre le conflit russo-ukrainien en perspective
Un peu d’Histoire :
ce qu’on pouvait en dire en décembre dernier :
La FAQ du Monde ICI
et la travail d’un collègue sur la Russie depuis l’URSS… ICI
the Guardian, 11/02/2022