culpabilisation sociale

Comment donner en quelques minutes et quelques mots ce qu’on a pu échanger…

On reprend la définition de la culpabilisation sociale selon Elsa Godart.. Ce serait la pression sociale, de ceux qui nous entourent, autorités comme amis , connaissances ou famille, sur ce qu’on a fait, sur ce qu’on réalise. L’autrice prend pour exemple les médecins pendant le Covid qui étaient obligés de choisir les malades à guérir.. Comme pendant la guerre on ne pouvait sauver tout le monde, on devait alors condamner à mort ceux qu’on ne sauvait pas sans savoir vraiment si les sélectionnés pourraient être guéris.. « Choix contraint » dit-elle, pour décrire ce choix que la société nous impose… Cela décrit une situation dans laquelle l’humain est soumis dans laquelle les orientations de l’institution ou de la société rendent impossible ce genre de choix qui ont des conséquences personnelles complexes, car la culpabilité s’insinue dans la personnalité ! Quand l’institution ou l’entreprise attend de moi des choses que je ne suis pas prêt à faire ou que je n’avais pas pensé faire un jour, cela me sort de la condition de travailleur et m’agresse personnellement. Conséquence personnelle d’un problème social… L’expérience de l’école montre que la culpabilisation n’est pas toujours ressentie par les élèves… La solution ne semble que politique car les individus ne peuvent se débarrasser de la culpabilisation…  Imposée de l’extérieur celle-ci mine l’intérieur. Donc la seule solution humaine serait que les conditions changent.. et seule la loi peut faire cela, rappel que notre société démocratique a besoin des représentants du peuple pour avancer.

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